Ce 31 juillet, c’est la Journée internationale de la femme africaine (Jifa). A l’occasion de cette journée, la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH) appelle à réfléchir sur la situation des femmes pendant la pandémie du coronavirus.
En prélude à la Jifa, la CNDH a organisé jeudi 30 juillet à Lomé une rencontre pour réfléchir sur la situation des femmes, surtout en ces périodes de pandémie du coronavirus. Les participants ont échangé sur le thème : « L’unité dans la diversité pour la lutte contre le racisme et la Covid-19 en faveur de l’autonomisation des femmes ».
Le taux des Violences basées sur le genre (VBG) a connu une augmentation sensible dans de nombreux pays, selon les Nations Unies. La pandémie du coronavirus risque d’augmenter la dépendance économique des femmes victimes de violences.
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Au cours de la rencontre, la présidente de la CNDH, Mme Nakpa Polo a invité les Etats et autres parties prenantes à porter une attention particulière aux effets directs que la pandémie a sur les femmes en particulier et les personnes en situation de vulnérabilité en général.
Cette année, la Jifa est célébrée sous le thème : « Autonomisation de la femme et lutte contre les violences basées sur le genre dans le contexte de la Covid-19 ». Pour la présidente de la CNDH, « Ce thème vient à point nommé dès lors que des études ont révélé selon les Nations Unies, une augmentation sensible du taux des violences basées sur le genre (VBG) dans de nombreux pays. La crise sanitaire actuelle, risque indéniablement d’augmenter la dépendance économique des femmes victimes de violences ».