Ferdinand Ayité et Joël Egah ont recouvré, provisoirement, leur liberté et sont sous contrôle judiciaire ce 31 décembre. Ils pourront ainsi fêter le nouvel an avec leurs familles et proches.
Leur libération étant conditionnée, selon une information du confrère « Tabloïd », les deux journalistes devront remettre leurs passeports au Doyen des juges d’instruction le lundi 3 janvier. Ils sont interdits de quitter le territoire togolais, ils doivent s’abstenir de se prononcer sur le fond de l’affaire les ayant conduits en prison, ils sont astreints de se présenter, chaque mercredi, chez le Doyen des juges d’instruction et signer un document.
Le confrère relève que c’est ce quator d’obligations qui pèsent sur les deux confrères et qui ont conditionné leur libération.