La localité d’Adankpokondji, préfecture de Vo, située à 45 km au nord-est de Lomé a été le théâtre d’un événement horrible il y a quelques jours. Vingt-six tombes ont été profanées au cours de la semaine dernière. Des restes humains ont été emportés. Une situation qui suscite depuis, la colère des proches des défunts nous apprend le site gapola.
Des corps sans vie reposant dans leur dernières demeures au cimetière d’Adankpokondji, village situé à 3 km d’Akoumapé, ont été dépouillés de certains de leurs membres aussitôt enterrés.
En effet, des individus mal intentionnés depuis certain temps profanaient des tombes sans que les populations, ni les les proches des défunts s’en rendent compte. Et c’est le samedi 14 novembre 2020, suite au décès d’une femme qui devrait être enterrée dans ledit cimetière, que les populations vont faire le triste constat de la profanation des tombes, avec des restes humains emportés.
Le chef canton et « ses disciples » ont été contraints à faire des cérémonies traditionnelles qui s’imposent dans ces genres de situation.
Mais selon les indiscrétions, il ressort qu’après consultation du FA, les auteurs de ces sacrilèges ne sont autres que des habitants du village et de leur entourage.
Rappelons que les cimetières dont les tombes sont objet de profanation dans la localité d’Adankpokondi, village situé entre Sagada et Apédokoè à Vogan, sont requis pour l’enterrement des personnes décédées à la suite d’un accident ou d’une mort atroce.